venerdì 27 settembre 2013

Manifesto Brut - Expo Les Villettes (Lierneux) Belgique

Manifesto Brut - Expo Les Villettes (Lierneux) Belgique

Sabato 19 ottobre 2013



Monteux 13 4990 Les Villettes Belgique


Après l'exposition du Manifesto Brut (mouvement d’art 
international)www.manifestobrut.org en Italie au musée Magma de Roccamonfina, situé dans le cratère d'un volcan dont son activité éruptive est datée de 630.000 et 50.000 ans, et où ont été retrouvées les premières traces de pas humain, unique dans l'histoire. La prochaine aura lieu en Belgique et précisément dans un lieu singulier, mais avec une histoire de plus ou moins quatre cents années, en fait, il s'agit d'une ferme datant du XVIIe siècle située dans la ville de Lierneux (Les Villettes) qui est traversée par le chemin des Ardennes 14 qui relie Paris à Malmedy (Belgique) et du sentier 571 aussi appelée la vallée des légendes qui traverse les vallées de l’ Amblève, de la Lienne et de la Salm. Lierneux est connu pour la première fois en 667 sous le nom de Ledernao ou Lethernaco. En 862, elle porte le nom de Ledernaus du latin Ledernavus pour désigner une place sur la Lienne. Le nom Lederna serait d'origine celtique. Le 11 mai 1940 le jour après le début de la campagne des 18 jours, la ville est occupée par la Cinquième Panzerdivision qui vise à traverser la Meuse.
« Les sires de Jalheau vécurent dans cette maison avant de partir en croisade »

L'exposition aura lieu dans l’étable de la ferme plus ou moins 400 mètres carrés et se déroule du samedi 19 Octobre jusqu’à dimanche 27 Octobre 2013
Considérant qu'il s’agit d’une des plus anciennes fermes de la Commune, la propriétaire "Alice", nous fera, le jour de l'ouverture, un résumé de son histoire.
Le Manifeste Brut a trois objectifs: l'indépendance et la liberté de l'artiste, lutter contre l'avancée d'un marché dictatorial, rendre les espaces d'exposition démocratiques contrastant les mensonges et privilégiant le partage.
Nous sommes certains que considérer l’art comme un artefact privilégié et pas comme une façon différente de communiquer et de faire l’information est purement faux. Dans le premier cas, l'artefact privilégié, par définition est limité à un produit d’échange souvent sans valeur intrinsèque, purement décorative mais avec la présomption ou la tromperie de le présenter comme un produit intellectuel. Dans le second cas, est privilégié l’échange culturel, le dialogue s’établit entre les parties, bien que souvent difficile, mais avec patience et avec l'aide du bon sens, on peut communiquer. Offrant également, une clef de lecture nécessaire à la compréhension d’un langage fait d'images, d’imagination et de couleurs auxquelles on peut attribué des significations différentes (selon les diverses combinaisons), qui peut conduire à la compréhension de l'artefact ou à en saisir le sens, le jeu devient intéressant et les diverses nuances peuvent être mieux saisies par notre cerveau grâce à la multitude d'informations à sa disposition et donc, les transformer dans de profondes émotions qui vont au-delà des mots. Cela va de soi, que vouloir à tout prix s’approprier ou usurper la création artistique et les images créées pour en faire des objets de marché alors, vous pourriez aussi bien produire des pommes de terre qui seront certainement plus utiles et appréciées. L'art n'a pas besoin d’endroits précis de consécration, en effet il n’a pas besoin d'être consacré, l'art est parmi nous, c'est une partie de notre existence et vouloir absolument le priver de sa liberté pour l’emprisonner dans un prix, c'est de la folie. C'est pour cela que le Manifeste Brut pour ses expositions préfère tous ces lieux que le marché ne choisirait jamais. Utiliser l'art pour ne produire que de l'argent est tout simplement stupide parce que cela signifierait, rendre l'âme de l’art et le travail de l'artiste vulgaire.

Le Thème de l’exposition est : « Le Mensonge » 
Les textes du catalogue sont; pour la critique d’Emiliano D'Angelo et pour le mensonge de Hugues Henry.
L’exposition sera réalisé avec le soutien de Mme Rona de l’espace « Les Contemporains » à Bruxelles.
Vernissage le samedi 19 octobre 2013 à partir de 17h.00
Expo du samedi 19 octobre au 27
L'exposition peut être visitée tous les jours de 10h30 à 19h00 ou sur rendez-vous.
Monteux 12 4990 Les Villettes

Pour plus d'informations:
Michaël Beauvent
Monteux 13 
4990 Les Villettes 
Belgique
Tel. +32(0)80318326
GSM +32(0)472717210
GSM +32(0)470215654
info@manifestobrut.org 

Artistes: 
Michaël Beauvent, Anna Colmayer, Irina Danilova, Stefanie Krings, Mauro Kronstadiano 
Fiore, Eric Legrain, Angelo Riviello, Roberto Scala, Rino Telaro, Bernd Keller, Pino Lauria, 
Rocco Sciaudone, Elena Patrizia Dell'Andrea, Maya Pacifico, Roberta Filippi.

Nous vous remercions pour votre temps et votre attention.
Sincèrement

Manifesto Brut


























lunedì 16 settembre 2013

THE TGV IN 50 SECONDS

LE TGV EN 50 SECONDES

48 vidéos d’artistes internationaux présentées à La Ciotat pour la manifestation "La nuit du train au cinéma"
Organizzazione CO.AR.CO. a cura di Roberto Comini - Testo di Bernard Plasse













Artists:

Albert Bayona, Pierre Beloüin, Benna, Myriam Bornand, Chris Brandl, Nicola Carter, Alexine Chanel, Russell Chartier, Osvaldo Cibils, Jean-Francois Coadou, Roberto Comini, Hervé Constant, Claude Corbier, Irina Danilova, Daniel Djamo, Tristan Duhamel, Pierre-Jean Fontfrede, Jonathan Franco, Trini Gainza, Alina Gavrielatos, Dorka Gergely, Jörg Heieck, Danielle Helbig, Francoise Hennebert, Salvatore Insana, Piotr Kotlicki, Artem Kotsun, Jean Lefèvre, Itamar Luria, Made, Sandra Matamoros, Alice Minier, Pierre-Jean Moreau, Anne Orban, Cristina Pavesi, Juan Petry, Roger Remacle, Angelo Riviello, Jean-Michel Rolland, Wilfrid Rouff, Florent Schwartz, Silvana Sferza, Siberiana, Noemi Sjöberg, Succa, Elisabeth Truze, Sofi Urbani, Videostellen


LE TGV EN 50 SECONDES


48 vidéos d’artistes internationaux présentées à La Ciotat pour la manifestation " La nuit du train au cinéma "

Le mouvement entraîne la modernité. J'écris cela curieusement au moment où je fixe ma pensée par l'écriture. Le cinéma fête 118 ans d'existence mais il est encore jeune puisque, à peine établi, il opère une translation magistrale dans sa descendance : la vidéo.

Considéré à tort comme le premier film projeté en public, "l'arrivée du train en gare de La Ciotat" est bien l'arrivée du train dans le cinéma. Les frères Lumière ont choisi une technique en plein essor pour en faire un sujet spectaculaire. La nouveauté du thème se ressent même dans le comportement des acteurs involontaires : la hâte des voyageurs, voire leur inquiétude envers l'énorme machine sont visibles, sans doute ces modèles anonymes ignorent-ils que leurs gestes s'immortalisent dans le mouvement.

CO.AR.CO., l'association de Roberto Comini, a attiré, pour Marseille Provence 2013 Capitale Européenne de la Culture, le film légende, à La Ciotat quarante-huit auteurs de courts-métrages de cinquante secondes sur le même sujet. Le résultat est étonnant à la fois par sa diversité, sa fantaisie et la qualité sur le plan historique ou sur le plan de la réalisation.

L'invention se joue de la contrainte et propose des évocations jubilatoires de voyages qui tiennent autant de l'onirisme que du transport (ferroviaire). La liberté et le plaisir des auteurs sont ici perceptibles et, à aucun moment, les incontournables vues de paysages défilant n'engendrent la monotonie. Le montage méticuleux en est la cause.

Près d'une heure de projection de ces courts-métrages pouvant pourtant sembler disparates laisse le spectateur découvrir à chaque nouvelle séquence l'étrangeté d'un train semblant rouler vers le futur sur les rails antiques des frères Lumière.



Bernard Plasse




THE TGV IN 50 SECONDS

48 videos of international artists screened in La Ciotat on September 27, 2013 for the spectacle "The Night of the Train at the Cinema "

The movement causes the modernity. I write this curiously at the time when I gather my thoughts through writing. The cinema celebrates 118 years of existence but it is still young and, since barely established, it operates a masterly translation in its progeny: the video.Considered wrongly as the first film shown in public, "The arrival of the train in the station of La Ciotat" is really the arrival of the train in the cinema. The Lumière Brothers have chosen a burgeoning technology to make a spectacular subject. The novelty of the theme is felt even in the behaviour of the involuntary actors - the rush of travellers or even their concern toward the huge machine are visible, without doubt, by these anonymous models. They are unaware that their gestures are awash in the movement.CO.AR.CO., the association of Roberto Comini, brought to Marseille Provence 2013 European Capital of Culture, the film legend in La Ciotat with forty-eight authors of short films of fifty seconds on the same subject. The result is always surprising by its diversity, its fantasy, and the quality of its historic agenda and achievement.The invention plays with constraint and yet clearly evokes the joy of trips that have much of the dream-like quality of train transport. The freedom and pleasure of the authors are here perceptible, and at no time does the inescapable view of scrolling landscapes engender monotony. The reason for this is due to meticulous editing. 

Nearly an hour of projection of these short films may seem disparate, but in each new sequence the viewer is left to discover the strangeness of a train which seems to roll toward the future on the ancient rails of the Lumière brothers. 

Bernard Plasse
Il TGV in 50 secondi

48 video di artisti internazionali proiettati a La Ciotat, il 27 settembre 2013 per lo spettacolo "La notte del Treno al Cinema"

Il movimento provoca la modernità. Scrivo questo curiosamente nel momento in cui ho capito i miei pensieri attraverso la scrittura. Il cinema festeggia i 118 anni di esistenza, ma è ancora giovane e, dal momento che a mala pena stabilita, essa opera una traduzione magistrale nella sua progenie: il video.Considerato erroneamente come il primo film mostrato in pubblico, "L'arrivo del treno alla stazione di la Ciotat "è in realtà l'arrivo del treno nel cinema. I Fratelli Lumière hanno scelto una tecnologia in rapida crescita per rendere un soggetto spettacolare. La novità del tema si fa sentire anche nel comportamento degli attori involontari - la corsa dei viaggiatori o anche la loro preoccupazione verso l'enorme macchina sono visibili, senza dubbio, da questi modelli anonimi. Essi sono consapevoli che i loro gesti sono inondati nel movimento di CO.AR.CO., l'associazione di Roberto Comini, che ha portato a Marseille Provence 2013 Capitale Europea della Cultura, la leggendaria pellicola a La Ciotat con quarantotto autori di cortometraggi di 50 secondi sullo stesso argomento. Il risultato è sempre sorprendente per la sua diversità, la sua fantasia, e la qualità del suo programma storico che gioca con l'invenzione sul piano della realizzazione. L'invenzione gioca con costrizione e ancora evoca chiaramente la gioia dei viaggi che hanno molto del sogno-come qualità del trasporto ferroviario.  La libertà e il piacere degli autori sono qui percepibili, e in nessun momento la vista ineludibile di scorrimento dei paesaggi generano monotonia. La ragione di questo è dovuto alla modifica meticolosa.

                                                                                                                                             Bernard Plasse

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